Nous, Marc Dumont et moi, Reinhard von Nagel avons amèrement besoin d’aide, de votre aide.

Avez-vous oublié les Soirées dans les Copeaux dont certains ont laissé des souvenirs inoubliables ?
Un tremplin pour les jeunes, un pèlerinage pour les ainés.
Cédant aux injonctions de Marc Dumont, agrégé d’histoire et auteur d’émissions de radio sur la musique à Radio France pendant plus de vingt ans, j’ai accepté de rédiger mes souvenirs professionnels de facteur de clavecins.
Et oh surprise, pendant les recherches portant sur mon activité de plus de 50 ans, je me suis rendu compte de l’influence exercée par ce petit atelier au numéro 100 de la rue de Charonne à Paris 11, influence sur l’épanouissement, la pratique et l’enseignement de la musique ancienne pas seulement en France, mais sur tous les continents.

Plusieurs décisions prises rue de Charonne se sont avérées importantes, voire capitales. La plus percutante était sans doute notre proposition d’accorder tous nos clavecins des écoles du Nord de l’Europe avec un LA, non pas de 440, mais 415 Hertz.

Cette décision fut acceptée – et adoptée – par la quasi-totalité des facteurs, exécutants et enseignants de la musique dite ancienne. Les conséquences sont limpides, mais ne l’étaient pas pour moi au mois de mars de 1973. L’observation très réservée de William Dowd après une première écoute d’un clavecin accordé un demi-ton plus bas que le 440 Hz officiel : « By no means less beautifull than before !» (« En aucun cas, moins beau qu’avant. ») C’est bien plus tard que j’ai compris les conséquences pour les chanteurs.
Savez-vous que Lully à Versailles et Bach à Coethen composaient pour un diapason de près de 392 Hz, soit deux demi-tons inférieurs au sacro-saint La de 440 Hertz ?

 

Or, maintenant que les textes sont rédigés, il nous faut un éditeur/diffuseur pour un livre qui ne devrait manquer dans la bibliothèque d’aucune école de musique.

Et c’est votre engagement qui pourra nous procurer le nombre de promesses de vente suffisantes pour rassurer et convaincre un éditeur.

Le titre : « 415 »
Date de publication : 2025
Prix estimé : 35 €

De fait, il suffit de nous signaler votre intention d’acquérir un ou plusieurs exemplaires de l’ouvrage avec le titre de travail « 415 ».

Merci à tous ceux qui l’ont déjà fait. Donc, vous n’avez qu’à attendre la publication du livre, voire l’échec du projet. En cas d’échec, aucun remboursement ne sera nécessaire. Juste nos explications et excuses.

Si vous avez la possibilité d’animer d’autres acquéreurs, n’hésitez pas. Le nombre de réactions positives, voire enthousiastes, a pour but de rassurer et d’encourager l’éditeur/distributeur à passer à l’acte.

Le manuscrit est terminé de notre côté. Mais il doit subir un toilettage fait par l’éditeur en collaboration avec les auteurs : Titre définitif, mise en page, choix des caractères, insertions des anecdotes et photos entre las chapitres techniques et historiques etc. C’est du travail de professionnel.

Une édition semble se justifier à partir de la vente de 1500 exemplaires. Le nombre d’intentions d’acquisition en est loin pour le moment.

Chaque musicien s’intéressant à la musique dite ancienne, chaque bibliothèque de Conservatoire ou d’Orchestre devrait en posséder un exemplaire. La liste n’est pas limitative.

Et si, en passant, vous pouviez respecter l’orthographe de mon nom – pas de V majuscule — s’il vous plaît. Merci

Reinhard von Nagel

(atelier.vonnagel @ gmail.com)